Radiofréquence

Radiofréquence

La radiofréquence est un traitement non invasif utilisé pour améliorer la qualité de la peau. La séance s’effectue en appliquant un gel sur la zone traitée, sur laquelle est glissé le manche radiofréquence. Le traitement est indolore, seule une légère augmentation de la température locale est ressentie.

PRINCIPALES INDICATIONS

La radiofréquence est indiquée pour réduire la cellulite légère, stimuler la production de collagène et d’élastine, lutter contre les vergetures et la fibrose, améliorer l’apparence des cicatrices, lutter contre les graisses localisées et le relâchement (abdomen, jupe-culotte, flancs, bras).

COMMENT ÇA MARCHE ?

L’appareil à radiofréquence augmente la température de la peau et des muscles, provoquant la contraction du collagène existant. En revanche, une température élevée induit la production de davantage de fibres de collagène et d’élastine, ainsi qu’une augmentation du métabolisme local. Ce renouvellement cellulaire améliore l’apparence, le maintien et la fermeté de la peau.

EFFETS SECONDAIRES

Après la séance de radiofréquence, une sensation de rougeur peut apparaître, qui disparaît au bout de quelques heures.

EFFICACITÉ

Considérant que les cellules du derme ont besoin d’environ 30 jours pour produire du collagène de type I et 90 jours pour produire du collagène de type III, les résultats commencent à être visibles dès la troisième séance de traitement. Les résultats persistent pendant de nombreux mois, cependant, en raison du vieillissement naturel de la peau, il est conseillé d’effectuer des séances d’entretien annuelles.

COMBIEN DE SÉANCES SONT NÉCESSAIRES ?

Plus vous effectuez de séances, meilleurs sont les résultats. Il est toutefois conseillé d’effectuer entre 6 et 10 séances, avec un espace d’1 semaine entre chaque séance.

CONTRE-INDICATIONS

La radiofréquence ne doit pas être pratiquée dans les situations suivantes : grossesse, maladies de peau, problèmes de coagulation et tumeurs malignes ; pendant les traitements de chimiothérapie ; maladies infectieuses, maladies endocriniennes (diabète, syndrome de Cushing, déséquilibres thyroïdiens), antécédents de thrombose profonde ; dans l’utilisation de médicaments tels que les anticoagulants et les corticostéroïdes ; prothèses métalliques, stérilets, stimulateurs cardiaques ; zones de la peau comportant des matériaux de remplissage, des tatouages ​​et un maquillage permanent.